Grèce

La Grèce est un pays du Club Med, elle est partout placardée sur la vitrine des agences de voyage. Pourtant, la Grèce, on a jamais fini de la découvrir, hors des circuits bien rodés, elle est pleine de surprises !

 

Difficile de ne pas répéter tout ce qui a déjà été dit sur la Grèce : de la feta au Sirtaki en passant par le Parthénon, elle est internationalement connue. Un enfant la reconnaîtrait à ses couleurs si proche de son drapeau, bleu et blanc. Bleu comme la mer qui la borde comme un bébé, blanc comme ses pierres calcaires mates et son marbre lustré par les millénaires. Pourtant, il y a tant de choses à découvrir ici qu’il est vraiment injuste de la cantonner aux ruines antiques et aux plages de cinéma.
Je plains de tout mon coeur ceux qui la traversent en courant, sautant de bus en musées, de bateau en hôtel et de ruines en plages. La Grèce ne leur offrira rien que des photos à ramener. Prenez le temps de la découvrir vraiment, vous en rapporterez des souvenirs et des émotions profondes.

Yassas Helànna ! Το όνομά μου είναι Christine, είμαι Γαλλίδα, ωραίο να σας γνωρίσω!

 

La Grèce est une star, c’est vraiment trop facile d’en tomber amoureux !

 

La gastronomie savoureuse, riche et généreuse. Son goût fort, ses herbes subtiles, son huile d’olive délicate et puissante. Ici tout est bon. Le souvlaki au coin de la rue est si gourmand qu’on résiste mal à en commander un deuxième. Le vin est corpulent et joyeux, la pâtisserie pleine de tentation.
La ville est vivante, solaire. La majesté des colonnes blanches flirte avec les pierres lourdes et les pavés inégaux. Des terrasses partout, de l’ouzo dans les verres, des oranges dans les arbres jusqu’en décembre. Si Athènes n’avait plus de ruines à visiter, elle resterait magnifique quand même.
La Grèce raconte des histoires d’empereurs conquérants, de Dieux élégants et de généraux délirants.

La Grèce ne peut que séduire le voyageur car c’est aussi une terre d’aventure

 
La Grèce a de facettes. Des plages, des ports de pêcheurs remplis de barques, des montagnes rondes et pieuses comme des épaules de géants sur lesquels trônent des monastères sombres, remplis de chants graves et profonds et hantés de silhouettes noires.
En Grèce il y a des forêts d’eucalyptus, des villages écrasés de soleil sur la mer. Le bleu hypnotique de l’eau sur le  blanc aveuglant des chapelles. Des ruines envahies d’herbes folles qui gardent encore leurs mystères où il fait bon s’asseoir, de prendre le temps de comprendre.
La Grèce, c’est aussi des champs d’oliviers à perte de vue, leur chevelure vert-de-gris argenté agité sur le ciel d’azur. Des ouvriers aux moment de la récolte qui vous offrent à boire, des hommes et des femmes souriants qui donnent l’impression d’avoir l’éternité devant eux.
La Grèce ce n’est pas une mais cent cartes postales en technicolor. Et pour en prendre plein les yeux, inutile de suivre point par point le circuit type, la Grèce est belle partout, là où justement, il n’y a pas de tourisme.
 

Pour aimer la Grèce, il faut sortir du circuit touristique

 
La beauté, la générosité se trouvent dans des gargotes de village, sur des chemins abandonnés, des collines perdues. Il faut se perdre dans les rues, la campagne et prendre un temps infini pour honorer l’histoire, la grande.
Car si la Grèce Antique est bien bien loin de la Grèce contemporaine, ses racines sont profondes et solides.
Mon portrait grec est subjectif. De la Grèce je ne connais pas les îles plantées d’hôtels luxueux. Je ne connais que les toutes petites. Celles qui sont encore habitées par les anciens. Des îles sans voitures. Le bruit des sabots des ânes sur les escaliers de pierre, le rugissement du vent, le souffle salé de la mer. Les effrayants poulpes séchant au soleil sur la devanture des magasins… Les ruelles minuscules en dédale étourdissant, blanches et poussiéreuses à l’aube, sèches et silencieuses au zénith, fraîches et reposantes à la nuit tombée.
Je connais surtout, pour mon bonheur, les chemins de traverse.
 

Ce que l’on finit par aimer par-dessus tout dans ce pays, ce sont ses habitants

 

Parce que les grecs, quand on s’en approche un peu, ils vous donnent envie de rester ici pour longtemps !

 
Je ne parle pas de ceux qui vivent du tourisme, mais de tout ceux que l’on rencontre dans les villages, au hasard des chemins.
L’accueil réservé à l’étranger vient d’une tradition ancestrale, la philoxénia que l’on trouvera essentiellement hors des sentiers battus. J’ai découvert au gré de mes voyages dans ce pays, une grande gentillesse, une facilité de contact très touchante.
Bien sûr, il ne faut pas craindre de s’arrêter sur le bord de la route pour rendre visite aux cueilleurs d’olives ou aux pêcheurs de retour au port. Quelques mots suffisent, mais même sans en dire aucun, si vous vous montrez avenant et respectueux, ils vous inviteront à rentrer avant même que vous demandiez quoi que ce soit.
 

Les grecs sont grecs nom de Zeus !

 
Les grecs ont un sixième sens pour détecter la sincérité. Ils n’aiment pas, c’est vrai, les touristes très « standards » qui viennent là juste pour prendre des photos. Ils se montreront distants, méprisants même. Mais à franchement parler qui aime ce genre de visite ? Si d’aventure, ils détectent en vous une vraie curiosité, s’ils vous sentent ouvert et disponible, si vous avancez sans peur et souriez déjà avant de les saluer d’un caliméra !, ils se montreront d’une profonde gentillesse. Ils ne vous laisseront plus partir !
 

En Grèce, il y a tout ce qu’un humain peut souhaiter

 
Un climat agréable, une belle lumière, une gastronomie délectable, beaucoup d’histoire et une culture forte. Si l’on cherche un peu, on trouvera ici, une expérience de voyage qui vaut tous les circuits et croisières touristiques du monde. 
 

Antio, efcharisto! αντίο, ευχαριστώ!

Et si on faisait un voyage en Albanie ?

Il y a bien des problèmes en Albanie qui font reculer les flots de touristes : l’Albanie c’est pas du tout cuit. Mais bientôt, elle renaîtra de ses années difficiles !

error: Content is protected !!